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    Paul est né le 23 novembre 1887 à Frouzins.

    Son père s'appelle Bernard; il est boulanger, né vers 1863. Sa mère s'appelle Marie Laveran, nées vers 1867.

    Paul a les yeux et les cheveux noir et mesure 1.63m; il sait lire, écrire et compter.

    Il s'engage à l'armée en 1905 pour 5 ans. Il a 18 ans.

    En 1907 il est à Toulouse, 19 rue des Puits Clos; il exerce la profession de mécanicien.

    Quartier maître mécanicien en 1909 lors de son service militaire.

    Il épouse le 15 février 1912 Louise Adeline Deltruel, née à Crespin le 25 février 1887.

    Il habite la rue Arago à Toulouse à cette époque

    Il avait 27 ans le 3 août 1914. Il est affecté au 5ème dépôt des équipages de la flotte à Toulon.

    Il sera renvoyé dans ses foyers le 11 novembre 1918.

    Second maître mécanicien en 1917.

    En 1924, il est ajusteur.

    En 1928 il habite rue du canon d'Arcole chez Dancaresse mécanicien

    Il mourra à Frouzins le 25 août 1974.

     

    Paul DANGLA

    Paul DANGLA

    Paul DANGLA

     


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    Guillaume est né le 31 mars 1880 à Frouzins.

    Son père Germain Costes est né le 8 février 1839 à Frouzins, cultivateur et a épousé le 24 février 1867 à Frouzins, Elisabeth Villeroux, née elle aussi à Frouzins le 9 janvier 1848.

    Guillaume a les cheveux chatain et mesure 1.71m; il sait lire, écrire et compter.

    Guillaume est cultivateur.

    Lors de son service militaire, il devient 1er canonier (1901)

    Il épouse Marie Félicie Villeneuve le 10 septembre 1910 à Frouzins

    Il avait 34 ans le 11 août 1914, jour de sa mobilisation.

    Soldat de 2è classe, il est affecté au 82è régiment d'artillerie lourde.

    Il sera renvoyé dans ses foyers le 20 février 1919.

     

    Guillaume Jean Marie COSTES

     


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    Paulin est né le 11 février 1872 à Frouzins.

    Il est valet de chambre en 1892.

    Il sait lire, écrire et compter. IL a les cheveux et les yeux noirs et mesure 1.58m.

    Ses parents sont Espagnols : Son père se nomme François Claveyrol né en 1833 à Esterri  (bien que sur le registre matricule il soit indiqué Pierre) et mort le 17 décembre 1897 à Frouzins. Il était cultivateur. Sa mère s'appelle Marie Ramon (transformé au fil des années en ramond, rémond, raymond), née vers 1830 en Espagne. Ils se sont mariés à Toulouse en 1858.

    Il souffre d'un chevauchement d'orteils

    Il a 42 ans quand il est mobilisé le 24 septembre 1914. Il est affecté à la 17ème section d'infirmier militaires.

    Il rentrera dans ses foyers le 23 mars 1915 mais sera rappelé le 20 décembre 1915 et affecté au 97è régiment d'artillerie. Il sera mis en congé illimité le 5 juin 1919.

    Il mourra à Saint Orens le 17 septembre 1958.

    Paulin Jean Marie CLAVEYROL

     


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    La paroisse est la cellule de base de l’organisation ecclésiastique.

     

    Sociologiquement la paroisse est une société de fidèles ; ce qui implique un territoire et la preuve de l'appartenance des fidèles à cette paroisse.

     

    1/ La paroisse correspond donc à un territoire limité, pas nécessairement le village d’ailleurs. Une paroisse peut ainsi regrouper plusieurs villages et hameaux ou encore une ville peut être divisée en plusieurs paroisses.

     

    Qu’en est il par exemple à Lille ?

    Au moment où Lille devint française, elle renfermait six paroisses: Saint-Pierre, Saint-Etienne, Saint-Maurice, Saint-Sauveur, Sainte-Catherine et Sainte-Marie-Madeleine. La paroisse Saint- André fut englobée dans les murs, à la suite de l'agrandissement de 1670, et l'église Sainte-Marie- Madeleine intra-muros remplaça celle qui était extra-muros ; il y eut donc alors sept paroisses

     

    En 1678, Gilbert de Choiseul, premier évêque français de Tournai, énumère les divisions religieuses de Lille : « Il y a à Lille sept paroisses très peuplées : leurs pasteurs sont pieux, doctes, zélés et charitables. Les églises sont belles, ornées et bien meublées ; elles ont plusieurs chapelains et clercs qui chantent les offices du jour et de nuit : on les appelle horistes ».

     

    On a dénombré pour chaque paroisse à l’époque (vers 1680) un certain nombre de séculiers : Saint André avec 8 séculiers, Saint Pierre et ses 65 séculiers, Saint Maurice (33 séculiers) , Saint Etienne (40 séculiers), La Madeleine (10 séculiers), Saint Sauveur (24 séculiers) et Sainte Catherine (33 séculiers).

    La présence d’autant de séculiers à Saint Sauveur s’explique par la présence des chanoines du chapitre.

     

    2/ Quant à l’appartenance à la paroisse, elle est établie par le domicile sur le territoire paroissial, mais aussi par la participation aux cérémonies religieuses dominicales ou aux grandes fêtes et par le versement de la dîme.

     

     

    3/ L’église est le symbole de la paroisse, consacrée sous un saint patron, fêtée et célébrée tous les ans.

     

    L’attachement que le peuple porte à son église s’étend généralement à tous ses éléments, les cloches notamment. Ainsi la cloche de l’église de la paroisse de Saint Etienne s’appelle Emmanuel et sonne lors des grandes occasions.

     

    Celle de Saint Sauveur se nomme Jésus. En 1676 on décide de la refondre :  le 14 avril, les marguilliers font une quête pour obtenir l’argent et le marché est passé avec le fondeur. Bientôt, « fut commencé à fouir en la cimentière de sainct sauveur … pour faire le fournage » et le 23 mai « jésus fut abbaissé du clochez en bas, pour le refondre ». « Le 17 juillet elle fut pesé avec des balances dans l’église quand elle fut rompu avec une balle de canon … elle fut pesée pièces à pièces, elle pesoit 6.569 livres ».

     

     

    4/ Fonctionnement de la paroisse

    Un curé et un ou deux vicaires officient dans ces paroisses. Les autres séculiers sont essentiellement des chapelains, des prêtres habitués (ils sont présents dans les stalles et sont chargés de rehausser par leur présence dans le chœur l’éclat des cérémonies) ou des horistes qui chantent les heures pendant la journée.

     

    Les chapelains sont titulaire d’une chapelle. Ils pouvaient entendre en confession et donner la communion mais ne pouvaient pas marier, ou baptiser sans le consentement du curé.

     

    A noter que les pouvoirs temporels du curé sont limités par les marguilliers qui composent le Conseil de Fabrique (composés de notables choisis par le Magistrat). Le Conseil étant chargé de l’administration et de la gestion des biens paroissiaux et doivent rendre des comptes aux échevins.

    Il y a en général 8 marguilliers par paroisse et ils sont notamment chargés de nommer les horistes et les prêtres habitués.

     

    Sources

    La paroisse au Moyen Âge de Monsieur Jean Gaudemet

    La vie à Lille, de 1667 à 1789, d'après le cours de M. de Saint-Léger de Aristote Crapet

     

     


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    Sous l’Ancien Régime l’Eglise est omniprésente dans la vie de chacun. On a un peu de mal à l’imaginer aujourd’hui. Mais chaque geste est empreint de religieux soit par contrainte soit par dévotion. Quel que soit l’endroit où l’observateur pose son regard, ce sera pour voir un clocher, un habit de religieuse, un couvent, une croix à un carrefour, une statue de la Vierge, une procession de fidèles, des pèlerins harassés ... L’observateur entendra les cloches qui sonnent pour appeler les fidèles à la prière, rythmant par la même occasion leur journée. L’environnement dans lequel évoluent nos ancêtres est imprégnés de la culture catholique.

     

    Prenons des exemples en Flandres et plus précisément à Lille :

     

    Le temps par exemple est régi par l’Eglise et l’on peut passer l’essentiel de ses journées à prier : ainsi à l’église Saint-Etienne et sa douzaine de chapelles, se succèdent chaque dimanche les messes, de demi-heure en demi-heure, depuis 4 heures jusqu'à midi. Et c’est ainsi dans chacune des églises de la cité.

     

    Ensuite l’espace géographique ; cet espace est complètement soumis à la « puissance spirituelle » : la Flandre wallonne (l'intendance de Lille) se trouve ainsi partagée entre les diocèses de Tournai pour la ville de Lille, d'Arras pour Douai et le Douaisis, de Cambrai pour l'abbaye de Cysoing, de Saint-Omer pour l'abbaye de Beaupré sur-la-Lys.

     

    L'évêché de Tournai comprend, entre autres, les décanats de Lille, Seclin, Saint-Amand, Helchin, Werwick. Pour l'essentiel, Lille et les paroisses voisines dépendent de l'évêque de Tournai. Les villes elles-mêmes sont découpée en paroisses, cellule de base de l’organisation ecclésiastique.

     

    Lille ainsi dispose en 1617 de cinq paroisses pour ses 32 604 habitants. Outre la collégiale Saint-Pierre située dans le plus ancien quartier de Lille (Saint Sauveur) les paroisses s'intitulent Saint-Etienne, Saint-Maurice, Saint Sauveur et Sainte-Catherine. La paroisse de Saint André sera érigée plus tard dans les Beaux quartiers lorsque Vauban agrandira la ville.

     

    Ces paroisses jouissent de revenus et comptent un personnel considérable. Ainsi, les 9 700 paroissiens de Saint-Etienne disposent de 21 ecclésiastiques au début du 17ème siècle, de prêtres habitués, horistes, chapelains, prêtres non habitués, clercs ou laïcs subalternes, comme le coutre, c'est-à-dire le sacristain, le sonneur, le fossier...

     

    En 1695, la paroisse de St Etienne dispose d'une quarantaine de prêtres, de 67 Recollets, 54 Dominicains, 34 Sœurs Noires pour 10 000 habitants environ.

     

    O comme Omniprésence de l'Eglise

    Un frère mineur Récollet

     

    Les membres du clergé sont donc visibles partout dans les rues de Lille.

     

    L’église assume également ce que l’on appellerait aujourd’hui les services sociaux avec la table des pauvres et les diverses institutions charitables qu’elle patronne.

     

    L'Eglise se charge aussi de l'enseignement dans les trois collèges Saint-Pierre, des Jésuites, et des Augustins, dirige quelques écoles élémentaires : celle des Grisons, depuis 1554, une école dominicale de Saint-Etienne depuis 1587, l’école des Bapaumes fondée par un tailleur de drap en 1605... Un Collège des Hibernois prépare, sur la paroisse Saint-Sauveur, des missionnaires pour l'Irlande. Grâce à cet équipement scolaire, la Flandre figure, sous l'Ancien Régime, parmi les provinces où l'analphabétisme est bien réduit.

     

    O comme Omniprésence de l'Eglise

    Collège Saint Joseph à Lille, ancienne institution jésuite

     

    Les livres de prières sont nombreux et représentent la moitié de la production lilloise en imprimerie.

    Plus précisément, de 1667 à 1715, Lille publie 305 ouvrages religieux sur 483, soit 63 %. Ces livres sont volumineux. Les guides de dévotion l'emportent, atteignant plus du tiers des titres religieux, plus du quart des livres vendus. Ensuite, ce sont les instructions chrétiennes, puis les ouvrages de polémique. La théologie et la liturgie occupent une place plus modeste.

     

    Le clergé régulier n’est pas en reste : début 17ème siècle on dénombre à Lille neuf communautés d'hommes (Dominicains, Récollets, Capucins, Minimes...), douze communautés de femmes (Dames de l'Abbiette, Clarisses, Brigittines, Urbanistes...) quatre couvents de religieuses (Sœurs noires, Sœurs grises, Visitandines, Sœurs de la Magdeleine). Il faut ajouter les hospitalières, les béguines et, proche de Lille, les Bernardines de l'Abbaye de Loos, les Augustines de Cysoing et de Phalempin, les Bénédictines du Prieuré de Fives, les Cisterciennes de Marquette. Les Capucins exercent une grande influence par leurs prédications populaires. Les Jésuites commencent à ériger leur église en 1606, au Rihour.  En 1613, les Augustins s'installent à Lille dans un refuge près de l'église Saint-Maurice ; En 1616, les Carmes Déchaussés bâtissent maison et église sur l'emplacement du Château de Courtrai.

     

    O comme Omniprésence de l'Eglise

    Une sœur Clarisse

    O comme Omniprésence de l'Eglise

    Les Colettines, chassées en 1639 du Vieil Hesdin, par la destruction de leur couvent, s'établirent près de l'église Saint Sauveur, grâce à la générosité de la famille Hangouart et de l'écolâtre Jacques Boudart.

    Sur la paroisse Saint-André, les Carmes constituent, en 1676, la Confrérie de Notre Dame du Mont Carmel. Les Recollets, sur la paroisse Saint-Etienne, fondent, en 1665, une Confrérie de l'Immaculée Conception.

     

    Ces diverses institutions paroissiales contribuaient à entretenir la ferveur religieuse.

     

    Car justement cette ferveur doit être alimentée régulièrement par des actes ostentatoires comme les processions, pèlerinages et autres dévotions. Toutes ces manifestations égayent le quotidien et influence positivement les fidèles par leur faste, par la magnificence qui y est déployée.

     

    O comme Omniprésence de l'Eglise

    Procession à Paris des reliques de Sainte Geneviève

    en 1539 pour faire cesser les pluies diluviennes

     

    « Les cérémonies sont nécessaires pour attacher les peuples sur lesquels la pompe et l'appareil mystérieux des cérémonies fait souvent plus d'impression que le fond même de la religion ».

     

    On va donc « processionner » pour remercier Dieu d'avoir rétabli la paix ou chassé la peste ou pour tout autre évènement qui va permettre de marquer les esprits.

     

    Ainsi sous l'influence des Archiducs, des cérémonies cultuelles exceptionnelles ponctuent le quotidien : Te Deum en 1606, en l'église Saint-Pierre pour remercier Dieu d'avoir donné la victoire à Albert d'Autriche sur Maurice de Nassau « grand pilier des hérétiques », dit Mahieu Manteau; en 1603, on fait une procession pour remercier Dieu d'avoir fait découvrir les voleurs de ciboires ; en 1604, pour célébrer la paix entre le roi d'Espagne et le roi d'Angleterre …

     

    De temps à autre, Louis XIV fait célébrer des messes solennelles qui provoquent l'admiration populaire : en 1673, à Saint-Pierre « quand ce vint l'Evangile tous les soldats se levèrent avec leurs épées nues et quand ce vint au remonstrance de l'hostie, les trompettes résonnaient et puis tous les officiers et soldats tirèrent encore leurs épées et la tenir en main toute nue pour faire serment pour Dieu et pour le Roi ».

     

    Les processions régulières les plus suivies sont celles de l'Ascension, de la Fête-Dieu avec le concours de toute la garnison et surtout celle de la ville, le dimanche qui suit la Trinité. C'est la plus solennelle. Le Magistrat inspecte le parcours de la Collégiale Saint-Pierre jusqu'à la Porte des Malades, prie les Lillois de lever les immondices, de « jeter de l'eau pour empêcher la poussière en cas qu'il fasse sec » et de « décorer le dehors de leurs maisons ».

     

    Le Jésuite Buzelin commente, dans sa Gallo-Flandria, les Rogations célèbres à Lille au temps de la Réforme catholique : « Les processions que font les paysans de toute Antiquité ont moins d'éclat, mais réclament plus d'effort (que les processions urbaines) et pourtant, ils les accomplissent joyeusement et de bon cœur. Chaque été, aux environs de la Pentecôte, ils ont l'habitude de faire le tour du territoire de leur village et ils font dans ce parcours jusqu'à quatre ou cinq lieues pour ne pas laisser un coin du village sans bénédiction. Ils font la plus grande partie de cette procession à jeun pour obtenir de Dieu les fruits de la terre ».

     

    Dans la paroisse St André, l'une des plus grandioses cérémonies eut lieu en 1681, « à l'occasion de l'élection des chevaliers militaires des Ordres de Saint Lazare et de la Bienheureuse Marie du Carmel, en présence de M. de la Rablière, maréchal des camps royaux, préfet militaire de Lille, grand prieur des Ordres de la Flandre, et de douze commandeurs, M. de Saint-Silvestre, mestre de Camp, inspecteur de la cavalerie, M. de Rosamel, capitaine de gendarmes de Flandre, M. de la Motte, major de la citadelle de Lille, en présence de nombreux chevaliers. Dans l'église des Carmélites, ornée de tapisseries avec des portraits de Louis XIV, grand maître de cet ordre, de Louvois, grand vicaire, furent célébrées des vêpres en musique. Parmi les officiers, M. Warcoin, ancien mayeur, M. Turpin, procureur de l'ordre en la langue belge... assistèrent à ces journées. Le lendemain, on chanta un Te Deum, on célébra la messe, les chevaliers tenant l'épée nue pendant la lecture de l'Evangile. Les réjouissances profanes suivirent : banquet, pétards, boites, feu d'artifice... Désormais, cette solennité se renouvela deux fois par an, pour la fête de Notre-Dame du Carmel (16 juillet) et pour la Saint-Lazare (17 décembre) ».

     

    Le culte des Saints participe de la dévotion chrétienne : le saint protège, commande, punit, intercède auprès des puissances plus élevées ; il se spécialise, pour ainsi dire, dans un recours. Il est plus facile proche du commun des mortels et plus facilement accessible à la ferveur populaire.

     

    On prie saint Roch à Wazemmes, saint Calixte à Lambersart, saint Piat à Seclin, saint Guislain à Fiers, saint Matthieu, apôtre, à Wambrechies... A Bergues, on invoque saint Winoc pour arrêter les cataractes du ciel, mais aussi pour faire cesser une sécheresse excessive. A Douai, la fontaine de saint Maurand, patron de la ville, guérit les enfants malades.

     

    O comme Omniprésence de l'Eglise

     

    Même chose pour le culte marial : le lieu de prière va également être spécialisé en fonction des miracles qui y ont eu lieu : Ainsi Notre-Dame du Prieuré de Fives accorde la guérison de la fièvre, Notre-Dame de la Barrière, à Marquette, est célèbre, depuis le 16è siècle, car elle a protégé le monastère pendant les troubles religieux. La statue de Notre-Dame de Grâce, à Loos, placée dans un arbre, guérit les apoplectiques.

     

    O comme Omniprésence de l'Eglise

     

    Bref, quelques exemples pour tenter de mieux visualiser le quotidien de nos ancêtres…

     

    Sources

    Dévotions populaires en Flandre au temps de la Contre-Réforme de Louis Trénard

    La vie religieuse à Lille au temps de la Conquête Française de Louis Trénard


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